World of Pegasus
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 Billy Grey

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Billy Grey
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Billy Grey


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MessageSujet: Billy Grey   Billy Grey EmptyDim 16 Mar - 3:25

NOM: Grey

PRENOM
: Bellatrix dit Billy

DATE DE NAISSANCE:
29/09/1973

Lieu de naissance: Oslo

Age actuel:
35 ans


EMPLOI
:médecin spécialisé en neurologie et immunologie, doctorat en psychiatrie ; médecin chef en second ( if possible)


Votre personnalité (défauts/qualités) en 5 lignes complètes:


En général : Billy est une jeune femme assez mure pour son âge. Les coups durs dans sa vie l’ont fait grandir d’un coup et confronté à la vie des adultes. Elle est réservée, polie et n’aime pas vraiment se dévoiler de peur d’être désabusé. Elle accorde difficilement sa confiance, amitié ou amour. Travailleuse autant que flemmarde, elle s’investit complètement dans une tâche et ne lâche le morceau que quand le travail est terminé.

Dans les mauvais jours : Elle est assez changeante d’humeur, pouvant passer d’un coup de blues profond à une joie euphorique. En public elle porte souvent un masque qui la fait passer pour quelqu’un plutôt à éviter. Quand elle ne va pas bien moralement, il est rare de la voir sourire, mais pas étonnant de la voir s’entrainer. En effet elle était dans sa jeunesse championne de lutte et doué à la chasse, en tant que médecin et femme de haut rang elle entretient sa silhouette en courant chaque matin et forcera pour se vider l’esprit.

Dans les bons jours : Billy peut être une vraie sadique. Espiègle quand elle le veut, elle peut vous montrer la vraie Billy, mais c’est très rare. Cette Billy sans masque est spontanée, douce, amusante et élégante, mais tellement fragile qu’elle ne sort pratiquement plus.



Poids, Taille, couleurs des Yeux et des cheveux:

Billy mesure 1.75m pour 65 kilos. Elle a les yeux d'un bleu effrayant et glacé et des cheveux bruns. Elle a un air petite fille sévère, mais c'est bien une femme. Elle a aussi un petit tatouage à un certain endroit.

Situation familiale: veuve, un frère en vie, actuellement célibataire


Spécialité ( Torture, Tir, Combat, Défense, Analyse, Stratégie, Infiltration...): analyse; tir

BIOGRAPHIE:

Enfance


J’ai vu le jour à Oslo au petit matin du 29 septembre 1973. Mes parents y étaient pour une conférence d’affaire et comme me le dira ma mère bien des années plus tard, j’étais pressée de sortir pour découvrir le monde. Honnêtement si j’avais su je m’en serais passé. Les 2 premières semaines de ma vie, je les passe à l’hôpital sous couveuse, car oui je suis venue un peu trop tôt pour pouvoir rejoindre les bras rassurant de ma mère tout de suite. Déjà à cet âge là je leur causais des frayeurs à mes parents. Mais j’étais selon les dires de mon père un beau bébé, les yeux curieux et malicieux, un sourire de nouveau né et des gestes désordonnées qui font craquer le plus grincheux des hommes. Mon père n’a jamais voulu le dire, mais je le sais qu’il voulait un fils pour lui transmettre notre nom, cependant je n’ai jamais souffert par sa faute, il me donnait toujours l’amour dont j’avais besoin. Nous sommes une famille respectée et très anciennes de la bourgeoisie londonienne. La famille de mon père a fait fortune en vendant des chapeaux. Je me rappelle les récits de mon grand-père à ce sujet. « Tout à commencé avec une idée et 1 livre » m-a-t-il raconté lors d’un de nos noël qui me revient en mémoire. On est bien loin de ces noëls tout comme de la livre. Aujourd’hui notre famille ne fabrique certes plus de chapeau, mais elle est toujours active. Labo pharmaceutique Gregory Grey, un des plus renommé dans le monde, il a été fondé par mon grand-père après la guerre par le frère de mon grand-père. C’est là que mon père à rencontré ma mère, elle jeune interne débutante, lui le noble aux services des autres.

Je semblais prédestiné au médical me dirait vous, vous n’avez pas tard, mais on en est pas encore là. Pour l’instant je quitte Oslo pour Londres. J’y passe le plus clair de ma tendre enfance. Jusqu’à l’âge de 6 ans en fait. Je ne vais pas à la maternelle comme les autres, mais j’apprends avec mes parents, mon père avait toujours un don pour le bricolage, don qu’il m’a transmise, même si je ne suis pas gaga des vieilles voitures. A 6 ans donc, mes parents conformément à l’usage de famille me mette à la Royal Academic School. Toute ma famille y est allée, seule l’élite y accède. Mais j’ai toujours détesté cette école, de ma rentrée à ma sortie, surtout le père Winchester qui a mon gout prêchait trop la bonne parole. Enfin cela m’a permis d’avoir l’éducation que j’ai maintenant et je dois dire qu’apprendre une langue est beaucoup plus facile à 7 ans qu’à 25 ans. Mes grands-parents habitaient à Birmingham, le village des contes de Robin des bois, d’ailleurs j’y passais beaucoup de temps, mes parents eux étaient toujours en voyage, constamment et moi j’étais trop jeune. Mais un jour après le thé j’étais grimpé à un arbre en pleine forêt, allez savoir pourquoi et j’ai attendu pour voir Robin. La seule chose que j’ai vu c’est la matraque de mon grand-père et le dos de ma grand-père pour l’empêcher de faire une bêtise. Ça m’a beaucoup marqué cette haine dans ces yeux. D’habitude s’était quelqu’un de tellement doux et aimant. Vous vous en doutez qu’après cela, Birmingham ne fut plus aussi attrayant pour moi. Je compris plus tard pourquoi il avait réagit comme cela, il était malade et jouer avec son cœur n’était pas conseillé. Enfin, je passe mon enfance à Londres, avec la nourrice, une femme disons simple et bonne enfant, on a eu des bons moments ensemble, elle était vraisemblablement ma seule amie. Les années défilèrent, les unes aussi monotone que les autres. Je m’ennuyais dans le manoir, et mes parents me manquaient beaucoup, mais j’étais mure, je comprenais, c’était eux la caisse et même si j’étais leur fille, ce n’était pas une raison pour entraver leur passion qui était bien plus leur métier que moi.


Adolescence


J’ai grandi, dans ma tête comme dans mon corps, je commence à comprendre les choses plus qu’on ne veut et il se trouve que ce n’est pas bon du tout. Alors que je poursuis des études secondaires, une terrible nouvelle s’abat sur notre famille. Ma mère a la sclérose en plaque. Cette nouvelle va complètement l’anéantir. La femme que je connaissais, je la verrais mourir au fur et à mesure que sa maladie avancera. Ça sera dur, dur de tout gérer, La pression de ma famille pèsera lourd sur mes épaules. Toujours être à la hauteur, et surtout ne pas décevoir ma mère. Elle voulait tellement que je réussisse, que j’ai une meilleure vie que la sienne avant qu’elle ne rencontre mon père. Je lui ferai ce plaisir, d’être sa petite fille modèle, alors qu’en fait je serai tout l’inverse. Je crois que mon père le savait, d’ailleurs il m’avait surprise avec un joint, mais il n’avait rien dit. Il avait pris une taffe et dit « fais en sorte que ta mère ne sente rien » puis il était parti. Je me sentais mal ce jour là, en fait je ne comprenais pas. Mon père il était pour moi toujours l’homme d’affaire qui a de la classe qui ne sort jamais des rangs, alors le voir aussi complice avec moi cela m’a fait flipper. Mais je n’ai pas cessé mon expérience pour autant. Quand on vous impose des règles tellement strictes, vous trouvez toujours un moyen de vous évader. Moi je l’ai trouvé parmi les punks de Londres. Bien sûr je ne pouvais pas m’habiller comme eux, les apparences auraient été trop compliquées à expliquer, mais pour tous le reste, j’adorais le style. Je dois dire que cette double vie m’a permis de survivre, et de supporter l’état de ma mère. Je n’ai pas voulu sauter les classes, même si j’aurai pu avoir mon bac à 16 ans, je voulais être comme les autres. Mes parents ne l’ont jamais compris, pour eux j’étais leur princesse, mais être fille de noblesse ce n’est pas simple. Vous vous trouvez confronter à une autre sorte de racisme. Au lycée ce n’était pas rare de trouver quelques exemples. Ce racisme, il se basait sur les rumeurs, beaucoup de rumeurs à mon sujet, mais je ne leur ai jamais donné raison. J'ai continué mes études avec mention excellent, j’ai continué l’équitation, le polo, le golf, j’ai appris à parler en public, à gérer les affaires, à me gérer, mais devant cette face du monde, je me suis honnêtement perdue. Je me suis mise en veilleuse, j’ai mis mes rêves de côté, mes ambitions aussi. Ma mère me voulait avocate, alors moi je la laisser tracer ma vie comme elle le voulait. Je n’étais pas suicidaire, mais les envies n’avaient pas manqués, un malade peut lancer des critiques très blessantes. Je me rappelle de l’ambiance qui régnait à la maison peu avant sa mort, les cris de douleurs la nuit, les pleurs de mon père dans ma chambre quand il croyait que je dormais. Je n’ai pas eu une enfance très heureuse, même si je n’ai jamais manqué de rien. C’est triste, mais c’est comme cela. Les étiquettes dictent l’éducation chez les bourgeois, l’image est importante, enfin surtout pour ma mère.

Vie adulte

C’est mon père qui m’a conseillé de faire médecine. En fait c’est venu comme ca, quand on était dans un fastfood à Tokyo. Il vendait un nouveau médicament là-bas et je dois dire que c’est assez marrant comme pays, même avec tous les problèmes. Mon Dieu qu’est-ce que cela avait été un casse tête de trouver une faculté. La langue ce n’était pas un problème, avec tous nos voyages, je parle couramment, l’anglais, le français, l’allemand, le russe, l’espagnol et le chinois, mais c’était plutôt l’endroit où se poser. Mon père m’avait rendu nomade, m’installer était donc angoissant. Finalement, il a décidé pour moi, en fait pas vraiment, j’avais choisi 5 université et il a tiré une du chapeau de grand-père. C’est comme ca que je me suis retrouvé au Etats-Unis. J’avais bien proposé à papa de prendre Dylan avec moi, mais il en avait décidé autrement. Il est trop jeune m’avait-il dit. Les séparations furent assez dures, surtout que je ne le reverrais que beaucoup plus tard. Bon ce n’était pas la première fois, New York, Seattle, Boston, je connaissais tous ca très bien, mais c’est à détroit que j’ai fait mes études, je sais ce n’est pas une université très réputé, mais le cadre me plaisait bien. Pour me sentir moins seule, j’avais pris une colloc avec une fille assez bizarre, complètement à l’ouest qui étudiait l’art contemporain, après une session avec elle, j’ai compris pourquoi, les modèles étaient délicieux. La première année fut assez dure, non pas par le programme, celui-là il était impossible à retenir, mais à cause de la mentalité américaine. Elle est très étrange pour une européenne comme moi. Par exemple les taxi-mans. Ils te racontent leur vie, ils plaisantent, à Londres c’est à peine s’ils sourient. Tous s’achète ici, tout, c’est assez étrange comme politique d’achat et je comprends un peu mieux pourquoi l’Europe dit que l’Amérique gaspille. Enfin ce n’est pas très important.
J’étudie la médecine générale pendant 2 ans, comme tout le monde. On est un nombre assez impressionnant dans l’auditorium, mais selon le prof, après l’examen de passage les ¾ seront recalés et je comprends rapidement pourquoi. 3 classeurs de 3000 pages à réviser pour un examen de passage, c’est du délire.

Je dois dire que si je suis passée, c’est grâce à Steven, celui-qui partagera ma vie pendant 4 ans. Steven lui, il était étudiant en droit, mais il trainait parmi les élèves de médecine pour une raison qui me reste inconnu encore aujourd’hui. Enfin bref, il m’a aidé à tricher, oui j’ai triché pour être admise, pourquoi me gêner, tout le monde a triché et 5 ont été dénoncé, pas mal. Steven m’avait soufflé la réponse en codé, simplement en citant le droit, chaque mot correspondait à un autre. Il avait fait le clown ce jour-là pour me sauver d’un échec, et je lui ai rendu l’appareil pour son doctorat, je l’ai aidé pour sa thèse, il m’a aidé pour la mienne. Ce qu’il faut savoir c est qu’il avait 10 de plus que moi. Au fur et à mesure qu’on s’est rapproché, j’ai appris qu’il avait été pâtissier, ca ma fait sourire, un pâtissier qui veut devenir avocat. Beaucoup de chose Steven les a emportés dans la tombe malheureusement, mais c’était la révélation de ma vie, mon nouveau souffle après mon père avec qui je garde encore un contact régulier bien sûr. J’ai passé 6 ans au campus et je me suis spécialisé en neurologie, immunologie et j’ai passé ma licence de psychiatre.

L’école enfin terminé, les choses sérieuses ont commencé, pas facile de commencer en tant que jeune médecin et qui plus est quand vous êtes une femme. Je m’obstinais à ne pas recourir à ma part de fortune pour arriver à mon but, tellement obstinée que j’ai fini par m’installé chez Steven. Il m’a aidé, beaucoup aidé pour trouver un job, mais pour payer les factures, j’ai dû faire des petits boulots, non je ne suis pas parano, j’adore me mettre au défi. Finalement j’ai réussi, j’ai décroché une place dans un hôpital miteux, mais j’étais heureuse, en ménage comme au boulot, c’était des horaires de fou, un stress sadique, mais j’adorais faire cela. C’est dans cette année, alors que j’avais 27 ans que Steven m’a demandé en mariage. Un vrai conte de fée. Le bougre avait reproduit ma pièce de théâtre préférée et moi je me suis presque étouffé avec la bague, mais bon. Le seul hic dans l’histoire ce fut le diner avec mon père, qui fit beaucoup rire mon frère, et avec du recul moi aussi, mais mon Dieu, il l’a fait rôtir et comment, mais je voyais dans les yeux de papa, qu’il l’avait adopté. Les retrouvailles avec mon frère étaient aussi soulageantes presque. Il avait grandi, le petit bébé était un vrai monstre à 2 pattes, mon portrait tout craché niveau bêtises, mais je dois dire qu’il a été un vrai chou avec Steven, même du haut de ses 12 ans. Par contre je me serais passé du mariage royal, plus jamais. 300 invités, un dîner délicieux et une envie de dormir surprenante. Par contre la lune de miel était tout à fait disons hot. Quand on est revenu, j’ai été muté dans un autre hôpital, le directeur m’aimait bien, il a tout fait pour que je perce. Nouvel environnement, mais très masculin, pas facile pour une gamine de bobo. Mais l’ambition était mon moteur de travail, apprendre mon essence, ma passion ce qui me différenciait des autres. De mon groupe, j’étais la plus casse couille dans tous les sens du terme, mais c’est là que j’ai développé des qualités de leaders et mon savoir faire. J’apprenais avec les grands et je comptais bien les bluffer sans pour autant perdre la tête. Ainsi je me suis fait respecter et à 30 à peine j’ai décroché le poste de chef de neurochirurgie. Mais cette promotion fut accompagnée par un tragique accident. Steven avait une moto, il l’adorait et en abusait trop. Ce soir là il pleuvait, je me rappelais, je roulais à 30 km/ h tellement on ne voyait rien. C’est sur le porche que mon collègue m’a appelé pour me prévenir que Steven avait été fauché par une bétonneuse qui avait dérapé. Apparemment il avait essayait de la doubler, mais en glissant le camion était tombé sur lui. Ce fut la nuit la plus longue de ma vie et je n’ai jamais autant détesté ma profession comme la salle d’attente.


Dernière édition par Billy Grey le Dim 16 Mar - 4:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Billy Grey   Billy Grey EmptyDim 16 Mar - 4:00

Son enterrement fut rapide, tout comme les formalités de famille. Je me rappelle avoir été d’une froideur avec tout le monde, en fait j’avais attendu la fin de la journée avec impatience. Mon Dieu aussi fut rapide, du moins je le croyais. J’ai déménagé, j’ai tout rendu à sa famille, j’ai comme on dit ignoré le problème. Les mois ont passé et avec cela mon travail s’est détérioré. Jusqu’au jour où en opérant un patient je l’avais vu. Cette distraction a paralysé mon patient à vie. Ma faute, j’ai assumé, je n’ai rein fait pour empêcher sa plainte, j’ai payé l’amende et je suis partie me réfugier au Canada, quelque part près de Vancouver. La vie d’ermite m’a réussi, enfin ca m’arrangeait cette solitude et j’ai évité l’alcool et l’asile comme cela. Je croyais finir comme cela, à l’abris des regards, mais non, il a fallut qu’un homme bouleverse ma vie en m’offrant un chien. Cet homme, s’était le général O’neill. Je me rappelle encore les premières rencontres, je l’ai presque mordu comme qui dirait. Mais il m’a rendu moins amère et puis il m’a rendu service, en me forçant à reprendre mon travail, mais cette fois au SGC et maintenant sur Atlantis. J’ai trouvé l’idée de changer de galaxie étrangement libérateur, je pouvais tout laisser ici sur Terre, mais j’ai réalisé que j’échangeais un enfer pour un autre…Pégase est loin d’être ce que j’imaginais, je le réalise maintenant après tout le temps que j’ai passé ici. Toujours en mouvement, jamais rien ne reste en place, mais tout change et avec les récents changements j’aurai bientôt une surprise à cause de laquelle je m’arracherai les cheveux.

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MessageSujet: Re: Billy Grey   Billy Grey EmptyDim 16 Mar - 4:07

Bienvenue parmi nous chére Billy, tu es validée ^^
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